Près de 25% de la population française souffre d´allergie respiratoire. De nombreux facteurs peuvent être à l´origine de ces manifestations. Ils peuvent être classés en 3 catégories* :
• Les facteurs environnementaux intérieurs : il s´agit de tous les allergènes potentiels présents dans l´air intérieur des locaux (acariens, moisissures, poils de chat, poils de chien, etc…)
• Les facteurs environnementaux extérieurs : il s´agit de tous les allergènes potentiels présents dans l´air extérieur (pollens, moisissures).
• Les facteurs de pollution atmosphérique : il existe des relations triangulaires entre pollution, pollens et allergie. La pollution peut à la fois agir sur les pollens en modifiant leur structure biochimique extérieure et par là même leur pouvoir allergène, et sur les muqueuses respiratoires de l´homme en modifiant sa sensibilité immunologique aux grains de pollens.
Pollens et allergie
Les grains de pollens contribuent au développement de la végétation qui assure la régénération de l´oxygène et a un rôle essentiel dans l´alimentation.
Cependant, pour au moins 20% de la population, ils sont responsables de réactions allergiques, en général saisonnières, appelées communément « rhumes des foins ».
Comment se manifeste une allergie au pollen ?
La rhinite allergique saisonnière : nez bouché, éternuements, nez qui coule et démangeaisons.
La conjonctivite allergique saisonnière : yeux rouges qui piquent, avec sensation de sable dans les yeux.
Les petits pollens, qui peuvent pénétrer jusque dans les bronches, peuvent provoquer des crises d´asthme : diminution du souffle, sifflements bronchiques, toux persistante souvent nocturne.
Œdèmes et urticaire sont plus rares.
Comment se protéger ?
Le moyen le plus efficace pour éviter une allergie au pollen est d’empêcher le contact avec l’allergène.
A l’extérieur, il n’est pas toujours facile de se protéger des pollens ; on peut juste conseiller de ne pas trop sortir en pleine journée, au moment où les pollens circulent le plus, de ne pas étendre le linge dehors, de se laver les cheveux en rentrant…
A l’intérieur, pour éviter que les pollens n’entrent en trop grande quantité, il est recommandé de ne pas trop ouvrir les fenêtres, de ne pas faire sécher le linge à l’extérieur avant de le rentrer…
Autre solution : nettoyer l’air avec un purificateur d’air Kokoon Air Protect.
La solution Kokoon Air Protect
Nous vous proposons une solution unique pour assainir et dépolluer l’air intérieur des pollens et autres impuretés
Notre offre se compose :
D’un dépolluant Spécial allergies
D’un purificateur d’air pour petits volumes (jusqu’à 50m²/30m3/H) Zephir
Le dépolluant Spécial Allergies doit être utilisé exclusivement avec nos purificateurs d’air. Le produit doit être introduit dans le récipient du purificateur. Le produit va agir en retenant toutes les particules, les mauvaises odeurs, le pollen et les poussières.
L’air qui sort de la machine est purifié à 100 % de ses impuretés, il ne présente par ailleurs pas d’odeur caractéristique.
Cet appareil fonctionne sur le principe d’aspiration de l’air puis de passage dans une turbine où se fait un mélange intime de l’air et du liquide pour émulsionner les impuretés et désinfecter l’air ambiant.
Facilité d’Utilisation :
Remplissez le bol du purificateur ZEPHIR de 800ml d’eau. Versez-y environ 5 ml (1 cuillère à dessert) de concentré. Mélangez sommairement et branchez le purificateur au secteur. Il n’est pas impératif de laisser le purificateur fonctionner en permanence. Le liquide pollué doit être remplacé régulièrement au minimum tous les trois jours. 125ml de concentré correspondent à 75 jours d’utilisation normale.
Pour les personnes allergiques ou asthmatiques, il est conseillé de faire fonctionner le système 1 heure avant d’aller se coucher avec les ouvertures fermées afin de prévenir une recontamination.
Service associé :
Pilotage à distance de votre purificateur : à l’aide d’un programmateur piloté à distance avec votre smartphone, compatible APPLE ou ANDROÏD, vous pourrez programmer votre purificateur à l’avance pour pénétrer dans un espace assaini de toutes ses impuretés et limiter sa consommation en programmant sa fin d’utilisation.
Source : Réseau National de Surveillance Aéro-biologique